Voilà, ce que je vois de ce que tu vois.
Moins superficiel.
Allons-y par le vocabulaire : capturer un écran, comme s’il était volage, et aller changer, l’échanger, comme s’il allait s’échanger. Oui, on emploie un écran pour le faire s’agiter, on n’est pas vraiment dans les écrans qui ne bougent pas, même si la tendance actuelle est de faire prendre l’écran statique pour du papier.
Il n’empêche, on peut capturer un écran avant qu’il ne diffuse autre chose, un scintillement plus qu’un autre, une fraction de ces couleurs blanches, lumineuses, reglées au moyen d’une caméra par un système d’exploitation toujours plus intrusif. Peut-on capturer l’environnement? Un peu, par l’exif
, peut-être par l’exil, qui permettrait alors de songer à cette collection de captures qu’on a en soi.
Que de bons moments passés derrière un écran.